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On perd souvent ce que l'on a de plus précieux au monde, mais on se rend compte très souvent qu'on tenait à eux plus qu'on ne l'imaginait au moment même où on les perd. • Célébrité : Nina Dobrev
• J'ai posté : 608
• Age du personnage : Vingt-deux ans
• Métier : Fauconnier, je dresse des rapaces pour monter des spectacles
• Où me trouver : Un peu partout, je bouge tellement, je suis instable.
• Coté coeur : Anteo, se sera toujours lui quoi qu'il arrive.
Najyla-Félix Basini
| Sujet: Oui je fais un scandale Lun 28 Mai - 16:48 | |
| OUI JE FAIS UN SCANDALE with Anteo-Orio PaschiJe m'étais réveillée très tard, la veille l'équipe du zoo avait voulu qu'on aille tous en boîte de nuit afin de boire un verre et se défouler un peu, alors que j'avais enchaîné avec les verres de vodka, j'avais même embrassé plusieurs mecs dont je n'avais même pas eu le temps de demander le nom, j'étais sortie afin de prendre l'air et accompagner un ami qui voulait fumer, j'avais entendu mon téléphone portable sonner, il était une heure du matin, c'était une amie que je voyais très peu, je me demandais bien ce qu'elle voulait, alors j'avais décroché et ce qu'elle me dit eu le don de me donner une grosse claque. « Najy tu devineras jamais, mais j'ai aperçu ton ex, tu sais... hum... Anteo je crois, je suis certaine que c'était lui, il était vraiment... magnifique, j'adore encore son magnifique corps, tu comptes le reprendre, car sinon je vais foncer ! » Je restais vraiment choquée, mon seul déclic fut de raccrocher, je décidais de dire à mon ami que je quittais la soirée, prétextant être vraiment fatiguée, j'ai marché sans savoir où aller, complètement perdue, je n'en revenais toujours pas, j'ai été chez moi, je me suis installée dans mon lit, j'ai regardé longuement le plafond, j'ai même entendu mon perroquet s'amuser dans sa cage, malgré tout j'ai réussi à dormir, puis je me suis réveillée, comme à mon habitude, j'ai bu mon café tout en restant devant Crazy, qui était en train de manger ses graines. D'ailleurs il ne faisait que de répéter « Najyla » ça avait vraiment l'air de l'amuser en plus. J'ai ensuite pris ma douche, je ne me sentais pas vraiment bien au fond, le prénom Anteo, son visage défilant en boucle dans ma tête. Je commençais à bouillir de rage, l'envie de le revoir, lui dire ce que j'avais sur le coeur, mais sans trop en dire. Je me suis donc préparée, j'ai redonné des graines à Crazy, puis je suis partie jusqu'à son hôtel, il était onze heures, il devait certainement y être à cette heure-là, je suis restée dans ma voiture, à fixer la porte d'entrée, puis je me suis lancée, quand je suis arrivée à l'accueil j'ai demandé à le voir, mais la charmante dame m'a dit d'un air très étrange, avec un grand sourire « Il n'est pas disponible pour le moment, vous avez pris un rendez-vous ? » Je commençais à monter en pression, je la fusillais du regard. « Un rendez-vous ? C'est pas non plus le prince de Monaco ! Vous croyez quoi, que je suis une terroriste ? » Elle sortait de son petit comptoir, m'indiquant où était la sortie, me prenait-elle pour une idiote. Je restais donc plantée où j'étais et je me mettais à crier. « Je veux le voir maintenant où je vous promets que je fais un scandale ! » Même si je commençais déjà à faire un scandale, je voyais une femme de ménage, avec un tas de serviettes dans les mains, elle allait certainement les monter jusqu'aux chambres, je lui arrachais des mains et les jetais partout dans l'entrée. « Si dans cinq minutes il n'est pas là, je vous promets que je mets le feu ! » Déjà quand j'étais petite je n'étais pas patiente, mais aussi méchante, alors peut-être que je n'allais pas mettre le feu, mais c'est certain que je trouverais un moyen. Je voyais la panique que je commençais à faire autour de moi, la femme de ménage n'osant même plus bouger et la charmante dame, elle s'était empressée de retourner jusqu'à son téléphone. Mais je voyais qu'elle ne se pressait pas vraiment, alors je me mettais à crier plus fort. « Anteo, je sais que tu es là, sors maintenant où je fais un malheur ! » Je m'approchais de l'accueil à nouveau, j'avais besoin de me détendre, je voyais des petites cartes, certainement où était noté le numéro de l'hôtel et je commençais à les faire voler une à une.
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Ne crains pas d'avancer lentement, crains seulement de t'arrêter.
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Anteo-Orio Paschi
| Sujet: Re: Oui je fais un scandale Lun 28 Mai - 18:15 | |
| Najyla & Anteo
Ca ne faisait que quelques jours que j’étais de retour à Pescara, et la ville avait bien changée, il allait falloir que je m’y habitue. En même temps, j’avais été prévenu, ma demi-sœur m’en avait parlé, certes, mais c’était surtout les chiffres des bénéfices qui m’avaient montré la voir. En effet, j’avais vu le chiffre d’affaire de mon hôtel augmenter de plus en plus, jusqu’à atteindre des résultats que je n’espérais pas. Il faut dire que la ville s’était développée grâce à ce fameux centre Zoobika, et je n’allais certainement pas cracher dessus. Au contraire, j’en profitais. Déjà habillé et préparé, je descendis à l’accueil de mon petit bijou, saluant brièvement mes employés. Oui, j’étais le grand patron ici, et c’était bien étrange de revenir ici. Tout gérer à distance et être sur le terrain, ce n’était pas la même chose, tout d’abord je ne connaissais pas encore tout le monde, il fallait que je m’y fasse pourtant, il avait fallu embaucher plus de monde. Puis il y avait l’architecture qui avait changé, il s’était agrandi, j’avais géré les plans, mais le voir en vrai et non en photos, c’était bel et bien différent ! Bref. Marchant dans l’allée, les touristes dormaient encore, seulement quelques uns étaient réveillés, en tenu de sport, surement prêts à partir pour un bon jogging. Ca me donna une soudaine envie de faire de même, mais je ne pouvais pas, je n’avais pas le temps. Tant pis, demain. Je prendrai mon mal en patience. Me rendant dans mon bureau, une pièce qui avait été construite et aménagée il y a quelques mois pour mon retour, je m’installai à mon bureau. Les dossiers à traiter dans la journée étaient là, me faisant face, et quand il fait s’y mettre on s’y met. Mon regard se posa sur l’heure, neuf heures. Je pris mon portable, l’enlevant de sa veille, et observant la photo. C’était Najyla. Depuis que j’étais parti, je n’avais jamais changé ce fond d’écran, j’avais gardé cette photo, pour me rappeler pour qui je combattais. Je n’avais pas encore repris contact avec elle, ça ne saurait tarder, il fallait juste que je trouve les bons mots à dire … Je commençais alors à travailler, perdant le fil du temps jusqu’à ce que mon téléphone retentisse. C’était le fixe, celui du bureau. Je décrochais alors, mais ce ne fut pas ce à quoi je m’attendais. Au lieu d’entendre l’hôtesse d’accueil, j’entendis quelqu’un d’autre. . « Anteo, je sais que tu es là, sors maintenant où je fais un malheur ! » La voix résonna dans le téléphone, alors que la jeune femme d’accueil me demandait quoi faire. « J’arrive. » fut tout ce que je répondis. Me levant instantanément, je savais qui était dans le hall, je savais qui avait crié, et si je n’y allais pas, j’allais retrouver mon hôtel en feu, même si l’envie de prendre la sortie de secours et m’en aller n’était pas très loin. Cependant, je sortis de mon bureau, laissant mes chaussures claquer sur le sol en direction de celle qui occupait mes pensées depuis bien longtemps. Quand j’ouvris la dernière porte, je la vis, de dos, en train de lancer des petites cartes de présentation un peu partout. Malgré tout, un petit sourire s’installa sur mes lèvres devant ce spectacle, elle n’avait pas changé. « Le voilà, s’il vous plait, veuillez arrêter maintenant, ou alors j’appelle la sécurité et vous rangerez tout ce désordre. » Bon, d’accord, je n’avais pas à l’appeler c’était déjà ça. Elle se retourna et me fixa. Evidemment, je fis de même, avant de m’avancer vers elle. « Je suis là Najyla. Viens s’il te plait, allons ailleurs » Je n’avais pas été méchant, ni même autoritaire, non, ce n’était plus moi, j’avais cependant réussi à enchainer quelques mots devant elle. Elle n’avait pas changé, toujours aussi radieuse. Sans l’attendre, je m’en allais alors vers la porte menant vers les bureaux, je lui tins, lui faisant signe du regard de venir. Je préférai nettement parler autre part que dans le hall de mon hôtel.
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Najyla-Félix Basini
| Sujet: Re: Oui je fais un scandale Lun 28 Mai - 19:00 | |
| OUI JE FAIS UN SCANDALE with Anteo-Orio PaschiJe commençais à perdre patience, je devenais presque horrible, on aurait presque dit une gamine en train de s'amuser à lancer des cartes dans l'accueil, l'hôtesse se décida enfin à appeler Anteo, peut-être qu'elle commençait à avoir peur ? En même temps je m'amusais à faire claquer mes ongles sur le comptoir. Beaucoup de mes proches savaient qu'il ne fallait pas me faire attendre, mais aussi ne jamais m'énerver, car quand je montais en colère, ce qui arrivait très peu heureusement, cela pouvait presque devenir comique, car je deviens ingérable. Je crois même que la fois où j'ai eu le plus honte de moi-même et où j'ai été le plus en colère, c'était au restaurant avec une amie, elle ne faisait que de me poser des questions, d'ailleurs cela concernait Anteo, à l'époque cela faisait un mois qu'il était parti, ne supportant pas les questions, je lui avais dit d'arrêter, mais elle avait continué, cherchant des réponses, cela m'avait énervé, je m'étais mise à l'insulter, elle m'avait insulté à son tour, je lui avais lancé le contenu de mon assiette sur la tête, avant de casser l'assiette par terre, puis il y avait eu toute une suite. Bref, ça avait été horrible ! « Le voilà, s’il vous plait, veuillez arrêter maintenant, ou alors j’appelle la sécurité et vous rangerez tout ce désordre. » Je la regardais avec un air bizarre, puis je lâchais un petit rire, qui faisait presque psychopathe, je l'imitais un instant répétant sa phrase afin de me foutre d'elle et je lui répondais. « Vu que vous n'avez rien à faire, vous n'avez qu'à ranger, moi je dois parler avec Monsieur le Prince de Monaco avec qui il faut prendre rendez-vous ! » Je me retournais ensuite, le fixant, je ne pouvais m'empêcher de le regarder de haut en bas, je n'avais qu'une envie me jeter dans ses bras lui dire à quel point il m'avait manqué, mais non je n'en fis rien, après tout il ne le méritait pas ? Puis j'étais partagée avec l'envie de le gifler, mais à quoi cela pouvait servir de le gifler ? Se serait sans doute se rabaisser à l'esprit de mon cher frère qui n'avait qu'une envie le taper, et même si j'avais souvent dit à mon frère de ne jamais le faire si un jour il le croisait, je savais qu'il serait capable de le faire. « Je suis là Najyla. Viens s’il te plait, allons ailleurs » Je ne répondais rien à cela, me contentant de le suivre, je le suivais donc jusqu'à son bureau, j'entrais donc, soupirant un instant, je regardais autour de moi, il était temps que je me mette à parler non ? « Bon alors, tu comptais m'éviter ? Faire semblant de ne pas me reconnaître ? Pourtant tu m'avais laissé ce mot qui disait... ah oui ! Je t'aime, mais on dirait que c'est resté très loin vu que tu n'as même pas dénié répondre à l'un de mes appels quand tu es parti, ou même m'envoyer un simple email... » J'avais commencé à hausser la voix. Je sortais donc de ma poche le mot qu'il m'avait laissé avant de partir, je l'avais toujours gardé, je le déposais sur son bureau. « Je pense que je n'en ai plus besoin ! » Je ne savais pas ce qui se passait dans sa vie, ça se trouve j'étais en train de me ridiculiser, il était peut-être en couple, avec un mannequin, une blonde complètement refaite et parfaite. A cette pensée, je me retenais pour ne pas pleurer, j'étais sensible, même trop parfois.
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Anteo-Orio Paschi
| Sujet: Re: Oui je fais un scandale Lun 28 Mai - 19:43 | |
| Najyla & Anteo
Elle était là, devant moi, si proche et pourtant tellement loin. Elle avait pourtant l'air de s'être calmée, lâchant les cartes, elle ne me répondit rien et me suivit jusque dans mon bureau, une fois à l'intérieur, je fermais docilement la porte, ayant légèrement peur que la voix monte. Je n'allais pas m'énerver, pas après ces trois ans de thérapie, mais il y avait toujours ce petit doute en soi. Le silence s'était légèrement installé, je la fixais, jusqu'à ce qu'elle se retourne. Et voilà, qu'est-ce que je devais lui dire maintenant, je ne savais pas, je n'étais pas allé vers elle parce que je n'avais pas encore trouvé quoi lui dire. J'avais disparu du jour au lendemain, sans lui dire où je disparaissais, elle avait le droit de m'en vouloir, c'était totalement normal.« Bon alors, tu comptais m'éviter ? Faire semblant de ne pas me reconnaître ? Pourtant tu m'avais laissé ce mot qui disait... ah oui ! Je t'aime, mais on dirait que c'est resté très loin vu que tu n'as même pas dénié répondre à l'un de mes appels quand tu es parti, ou même m'envoyer un simple email... » Je ne soupirai pas, je baissais légèrement le regard, avant de le remonter. Le ton était déjà haut, alors qu'elle trifouillait dans sa poche. « Je pense que je n'en ai plus besoin ! » Me dit-elle, laissant le bout de papier sur le bureau. Au fond de moi, je sentis un certain espoir, oui, parce que si elle l'avait toujours, c'est que ça avait de l'importance à ses yeux, en tous les cas, ça en avait pour moi. Je fis un pas vers elle, m'arrêtant alors. « Je ne pouvais pas te répondre Najyla, c'est normal que tu m'en veuille, le contraire aurait été étonnant après ce que j'ai fais, ce que je t'ai fais. Mais ... Tu sais autant que moi qu'il fallait que je parte, alors je suis parti ... pour me soigner. » Commençais-je, sur un ton totalement calme, posé, normal, qui représentait le nouveau moi. Je m'approchais du bureau, prenant le mot dans ma main gauche, et portant mon regard dessus. Je lui tendis alors, doucement. « Ne pense pas ça s'il te plait, garde le. Il détient toujours autant la vérité Najy. » C'était ma manière de lui montrer que je l'aimais toujours, oui, c'était pour elle que j'avais fais tout ça, aussi pour Delia, pour mes proches, pour tous ceux que j'avais blessé. Et pendant ces trois dernières années, je n'étais pas passé à autre chose, au contraire, j'étais redevenu le Anteo du début. « Ne me déteste pas, tu dois certainement avoir des questions, et je suis là, pour t'y répondre, installe-toi. » Continuais-je, en lui montrant mon fauteuil du regard. J'avais besoin de lui parler, qu'elle me parle, qu'elle me raconte des choses, même si je savais principalement qu'elle allait me poser des tas de questions, du moins, si elle voulait encore me parler, c'était une de mes peurs les plus majeures ...
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Najyla-Félix Basini
| Sujet: Re: Oui je fais un scandale Lun 28 Mai - 20:08 | |
| OUI JE FAIS UN SCANDALE with Anteo-Orio PaschiJe devenais ingérable, je me mettais à hausser la voix, j'étais partagée entre tellement de sentiments, j'étais comme torturée, je l'aimais, je l'aime encore, je n'arrivais pas à l'oublier, pourtant j'avais tout tenté, même avec un lavage de cerveau, je suis certaine que cela ne changerait rien du tout. « Je ne pouvais pas te répondre Najyla, c'est normal que tu m'en veuille, le contraire aurait été étonnant après ce que j'ai fais, ce que je t'ai fais. Mais ... Tu sais autant que moi qu'il fallait que je parte, alors je suis parti ... pour me soigner. » La disparition est la chose que je déteste le plus au monde, me rappelant trop souvent ce qui s'était passé avec mes parents, ils avaient disparu, n'étant jamais revenus, alors quand il avait disparu, j'avais pensé au pire pour lui. Il avait un ton calme, posé, il était comme avant, celui que j'avais connu au début de notre relation, loin de l'homme colérique, désagréable qu'il avait pu être. J'avais déposé sur son bureau le mot qu'il avait laissé avant son départ, il le prenait dans sa main afin de me le tendre. « Ne pense pas ça s'il te plait, garde le. Il détient toujours autant la vérité Najy. » Alors il m'aimait toujours ? Ce qui voulait dire pas de belle blonde mannequin dans sa vie ? Je reprenais le mot alors, que je pliais afin de le remettre dans ma poche. « Ne me déteste pas, tu dois certainement avoir des questions, et je suis là, pour t'y répondre, installe-toi. » Il me montrait son fauteuil, j'allais donc m'y installer, je ne le détestais pas, à vrai dire peut-être un peu... Je n'en savais rien, j'étais perdue, je lui en voulais tellement d'être parti. « J'étais là pour toi ! J'aurais pu t'aider... » Je n'avais trouvé que cela à dire pour le moment, j'étais loin d'être une très bonne psychologue, il m'arrivait parfois de ne pas trouver les bons mots, je ne sais pas du tout par quel moyen j'aurais réussi à l'aider, mais je savais que j'en aurais la motivation, j'avais conscience qu'il avait failli faire une grave erreur en tentant de lever la main sur moi, mais il ne l'avait pas fait, il avait su se maîtriser, comprendre son acte. « Nuit et jour je m'inquiétais pour toi, je t'imaginais mort, puis je t'ai imaginé refaire ta vie ailleurs, j'étais complétement perdue sans toi. » D'ailleurs j'étais tellement perdue que je me suis lancée dans de très mauvais choix, commencer à sortir en boîte, faire des rencontres, les mener droit dans mon lit, jouer avec eux, me moquant complètement d'eux, la preuve même il y a quelque temps un homme était tombé amoureux de moi, me demandant même en mariage et je m'étais comportée comme la pire des garces avec lui, me foutant de lui, lui rigolant au nez quand il avait présenté la bague devant moi. « Tu étais où hein ? Et ça ne t'a jamais sauté à l'esprit, que tu aurais pu faire passer un message pour moi ? Je t'aimais bordel ! » Oh non, je me refusais pour le moment à lui dire que je l'aimais encore.
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Anteo-Orio Paschi
| Sujet: Re: Oui je fais un scandale Lun 28 Mai - 20:32 | |
| Najyla & Anteo
« J'étais là pour toi ! J'aurais pu t'aider... » Non, elle n'aurait pas pu me gérer, non, ça aurait été impossible. Je soupirais alors à moitié. J'avais envie de la croire, de penser qu'elle aurait pu, mais après notre dernière entrevue, j'avais beaucoup de mal à y croire. J'avais failli commettre l'irréparable, j'avais été à deux doigts de lever la main sur elle, et rien que pour ça, j'avais du m'éloigner. La prévenir ? Elle m'aurait retenu, je n'étais pas en état de lutter. « Nuit et jour je m'inquiétais pour toi, je t'imaginais mort, puis je t'ai imaginé refaire ta vie ailleurs, j'étais complétement perdue sans toi. » Non, elle n'aurait pas du, il lui avait laissé ce mot, ce mot qui disait tout. « Tu étais où hein ? Et ça ne t'a jamais sauté à l'esprit, que tu aurais pu faire passer un message pour moi ? Je t'aimais bordel ! » Elle s'était posée sur le fauteuil, s'était légèrement calmée, pour finalement recommencer à hausser le ton. « Tu ne comprends pas ... » Murmurais-je, m'appuyant contre mon bureau pour prendre une inspiration et trouver par la même occasion les bons mots. « J'aurai voulu rester, j'aurai voulu que tu m'aides, mais j'étais ingérable, ne dis pas le contraire. J'étais à deux doigts de dépasser la limite, j'ai du faire un choix, si je t'en avais parlé, tu m'aurais retenu et je t'aurais blessé. » Je n'avais pas tellement réfléchis, déversant les premiers mots, ceux qui me venaient tous seuls. « Je suis parti en centre désintox' à Rome, ça a duré une longue année Najy. J'aurai voulu te recontacter, puis j'ai pensé que tu étais passée à autre chose, que tu devais avoir une vie, que je n'avais pas le droit de m'immiscer comme ça. Je me suis ensuite fait suivre par un psychologue, un bon moment, pour faire le deuil de Telo. » A l'annonce de son prénom, je m'arrêtais net. Le deuil n'était pas complet, quand j'y pensais, ça me faisait mal, c'est vrai. « Je t'aimais et c'était pour cela que je devais partir pour te protéger. Ne me déteste pas pour ça, je suis revenu pour me faire pardonner, pour me racheter ... pour te reconquérir. » Oui, je l'aimais toujours, Najyla n'était pas le genre de personne qu'on oublie en un claquement de doigt, non, ce n'était pas possible dans mon esprit.
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Najyla-Félix Basini
| Sujet: Re: Oui je fais un scandale Mar 29 Mai - 16:35 | |
| OUI JE FAIS UN SCANDALE with Anteo-Orio Paschi« Tu ne comprends pas ... » Oui enfaites il avait peut-être raison, je ne pouvais pas comprendre, après tout à l'époque je n'étais pas à sa place. « J'aurai voulu rester, j'aurai voulu que tu m'aides, mais j'étais ingérable, ne dis pas le contraire. J'étais à deux doigts de dépasser la limite, j'ai du faire un choix, si je t'en avais parlé, tu m'aurais retenu et je t'aurais blessé. » Effectivement, il avait été ingérable, tellement horrible, en particulier lorsque l'on se disputait, à l'époque, enfin même si époque est un grand mot car cela ne fait pas des milliers d'années, mais à chaque dispute j'avais eu l'impression de le perdre un peu plus, de me sentir tellement inutile, car je n'avais pas su comment l'aider, je l'avais simplement vu sombrer sans rien faire. C'est certain que s'il m'avait dit qu'il partait, j'aurais tout fait pour le retenir, j'aurais tout tenté. Je le laissais parler, l'écoutant attentivement. « Je suis parti en centre désintox' à Rome, ça a duré une longue année Najy. J'aurai voulu te recontacter, puis j'ai pensé que tu étais passée à autre chose, que tu devais avoir une vie, que je n'avais pas le droit de m'immiscer comme ça. Je me suis ensuite fait suivre par un psychologue, un bon moment, pour faire le deuil de Telo. » Je baissais les yeux, secouant légèrement la tête, je n'avais jamais réussi à avoir une autre vie, trouver un autre homme, puis je le savais se sera toujours Anteo et pas un autre. « Je t'aimais et c'était pour cela que je devais partir pour te protéger. Ne me déteste pas pour ça, je suis revenu pour me faire pardonner, pour me racheter ... pour te reconquérir. » Je fermais les yeux en attendant le mot : reconquérir, c'était dingue à dire, mais cela me faisait du bien d'entendre cela, combien de fois j'avais rêvé le revoir, pouvoir être de nouveau heureux comme avant. Je lui faisais un petit sourire, cela voulait donc vraiment dire qu'il m'aimait toujours ? Si les choses pouvaient être aussi simple, je me plongerais dans ses bras et je lui dirais à quel point je l'aime, mais je m'abstenais. « Mais dès que tu commençais à sombrer, j'aurais du t'aider, mais à la place je me contentais d'observer, ne rien dire, j'ai été lâche ! » Peut-être que si je lui aurais interdit de boire dès le début il n'aurait pas été à ce centre de désintoxication. D'après ce que je venais de comprendre, il n'avait donc pas osé me recontacter, pensant que j'avais une autre vie, que j'étais passée à autre chose. « Je t'aimais trop pour passer à autre chose aussi rapidement ! J'ai passé des semaines à pleurer et j'ai commencé à ressortir, j'ai tenté de t'oublier en enchaînant les conquêtes, mais cela a tout simplement fait de moi une garce, je me moquais de ce que les autres pouvaient ressentir pour moi, je suis presque devenue une sans coeur avec la plupart des hommes. » La preuve même il y a un mois, un homme pensait avoir toutes ses chances avec moi, il m'aimait tellement, me demandant en mariage, et j'ai juste rigolé en le voyant faire et j'ai été pire encore lorsque je lui ai répondu qu'entre nous ce n'était que du sexe et rien de plus. « Je ne te déteste pas... je... tu sais je ne t'ai pas oublié, je voudrais tellement que tout redevienne comme avant ! » Avant, un mot qui semblait si lointain dans mon esprit, il m'avait tellement manqué, que pour moi cela avait paru être une éternité.
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Anteo-Orio Paschi
| Sujet: Re: Oui je fais un scandale Mar 29 Mai - 18:55 | |
| Najyla & Anteo
« Mais dès que tu commençais à sombrer, j'aurais du t'aider, mais à la place je me contentais d'observer, ne rien dire, j'ai été lâche ! » Il la fixait toujours.« Tu n'as pas le droit de dire ça, arrête, tu n'es pas lâche, c'est moi qui ai merder, j'ai tout foutu en l'air avec ma dépendance. » Il fut un temps, il aurait eu beaucoup de mal de parler de ça, d'enchainer sur un autre sujet, mais il se sentait comme "guéri" pas totalement, certes, mais les excès de colère était dorénavant contrôlable. « Je t'aimais trop pour passer à autre chose aussi rapidement ! J'ai passé des semaines à pleurer et j'ai commencé à ressortir, j'ai tenté de t'oublier en enchaînant les conquêtes, mais cela a tout simplement fait de moi une garce, je me moquais de ce que les autres pouvaient ressentir pour moi, je suis presque devenue une sans coeur avec la plupart des hommes. » Il sentit son coeur se briser petit à petit pour différentes raisons. Tout d'abord le fait qu'elle ait eu aussi mal après son départ, ce n'était pas ce qu'il avait voulu en partant, bien au contraire, il avait pensé l'aider, la soulager d'un poids qui devenait bien trop dangereux. Puis cette histoire de conquêtes lui fit mal. Penser que des hommes l'avaient touché, ça lui donnait des frissons plus que désagréable. « Je ne te déteste pas... je... tu sais je ne t'ai pas oublié, je voudrais tellement que tout redevienne comme avant ! » Il baissa les yeux, avant de les relever deux secondes plus tard. Il s'avança vers elle, et se baissa pour être à la hauteur de son regard puisqu'elle était maintenant assise sur son fauteuil. Il lui prit délicatement la main, tentant vainement de lui sourire. « Pour moi, tu es juste une femme qui a souffert, que j'ai fait souffrir, et qui a maintenant besoin d'une certaine stabilité. J'ai fais beaucoup d'erreurs, je me suis soigné, mais elles sont toujours là, dans un coin de mon esprit, à jaillir quand je ne m'y attends pas. » Il marqua une légère pause avant de reprendre. « Ce que je t'ai fais est impardonnable, et pourtant tu es là, devant moi. J'ai encore de l'espoir, je suis redevenu celui que j'étais avant, je suis clean, vraiment, et je me fiche de ce que tu as pu faire, tu m'as tellement manqué que je ne compte pas repartir de ci tôt Najyla. Je pense sincèrement que tout peut revenir comme avant, si on y met du notre, si tu tiens toujours à moi, on peut y arriver et le temps ne pourra qu'être en notre faveur. » Il lui caressait doucement le dos de la main, distraitement.
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• Métier : Fauconnier, je dresse des rapaces pour monter des spectacles
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Najyla-Félix Basini
| Sujet: Re: Oui je fais un scandale Mar 29 Mai - 19:18 | |
| OUI JE FAIS UN SCANDALE with Anteo-Orio Paschi« Tu n'as pas le droit de dire ça, arrête, tu n'es pas lâche, c'est moi qui ai merder, j'ai tout foutu en l'air avec ma dépendance. » Je soupirais, de toute façon il avait eu de vraies raisons de devenir comme ça, son meilleur ami était mort dans un accident, c'était tout a fait normal, des personnes arrivent à gérer la mort d'un proche, bien que mes parents étaient morts, oui je ne pouvais plus dire disparus, depuis le temps, ils étaient morts... Si je n'avais pas eu mon grand frère à l'époque, que serais-je devenue ? Peut-être rien ! Ou peut-être pas... Mais j'avais réussi à gérer cette disparition, me dire qu'il fallait que je reste forte, rester cette fille qu'ils avaient aimé, dont ils étaient fiers. Je ne préférais donc pas répondre à ce qu'il venait de me dire. Je venais de lui avouer que j'avais eu plusieurs conquêtes, qui d'ailleurs ne se comptaient plus sur les doigts d'une main, avec tous ses hommes je m'étais fait un énorme répertoire de contact, j'ai énormément de contacts dont je ne vois même plus qui est la personne. Je ne voulais surtout pas lui faire du mal en lui disant ça, mais je voulais lui dire la vérité, car si je lui disais que je n'avais embrassé et couché avec personne durant son absence, se serait mentir. Je lui disais que je voulais que tout redevienne comme avant, je tenais tellement à ma vie d'avant, loin des problèmes qui étaient survenus par la suite entre lui et moi. Il s'avança vers moi, me prenant délicatement la main. « Pour moi, tu es juste une femme qui a souffert, que j'ai fait souffrir, et qui a maintenant besoin d'une certaine stabilité. J'ai fais beaucoup d'erreurs, je me suis soigné, mais elles sont toujours là, dans un coin de mon esprit, à jaillir quand je ne m'y attends pas. » Je retenais dans ma tête toutes les paroles qu'il était en train de prononcer, n'en ratant aucune, à mes yeux elles étaient tellement importantes. « Ce que je t'ai fais est impardonnable, et pourtant tu es là, devant moi. J'ai encore de l'espoir, je suis redevenu celui que j'étais avant, je suis clean, vraiment, et je me fiche de ce que tu as pu faire, tu m'as tellement manqué que je ne compte pas repartir de ci tôt Najyla. Je pense sincèrement que tout peut revenir comme avant, si on y met du notre, si tu tiens toujours à moi, on peut y arriver et le temps ne pourra qu'être en notre faveur. » Je sentais ses caresses sur ma main, je laissais ma deuxième main sur l'une des joues, plongeant mon regard dans le sien, ses yeux m'avaient tellement manqué, à une époque je passais des heures à l'admirer. Je restais un instant dans le silence, ne disant rien, car je voulais tout simplement prendre quelques secondes pour apprécier ce moment. « Je veux être là pour toi maintenant, pouvoir t'aider si tu vas mal, si tu as besoin de parler, je ne suis pas toujours de très bons conseils, car j'ai souvent des avis différents par rapport aux autres, mais je tiens à toi et je déteste te voir aller mal. » Alors que beaucoup comme mon frère ou mes proches m'avaient dit de ne jamais retourner vers Anteo si jamais il revenait, car ce qu'il avait pu me faire était impardonnable , j'étais là, dans son bureau, mon regard toujours plongé dans le sien, peut-être que l'on ne comprend pas ce que je ressens pour lui, mais maintenant qu'il était à Pescara, je ferais tout ce qui est en mon pouvoir, pour qu'on est une seconde chance, qu'on puisse de nouveau dire qu'on est un couple et heureux. « Je veux vraiment qu'on est une autre chance, je ne veux surtout pas te voir de nouveau disparaître, je ne pourrais pas le supporter une seconde fois, je veux de nouveau pouvoir me promener avec toi en dégustant un café, profiter de la plage en t'embêtant à te jeter du sable comme une gamine ou encore t'embêter avec ma passion pour les oiseaux. »
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Anteo-Orio Paschi
| Sujet: Re: Oui je fais un scandale Mer 30 Mai - 12:22 | |
| Najyla & Anteo
Sa main vint contre la joue d'Anteo, qui sourit face au contact, comme apaisé par ce si simple geste, et pourtant, il signifiait beaucoup à ses yeux. Personne n'aurait pu lui dire le contraire. « Je veux être là pour toi maintenant, pouvoir t'aider si tu vas mal, si tu as besoin de parler, je ne suis pas toujours de très bons conseils, car j'ai souvent des avis différents par rapport aux autres, mais je tiens à toi et je déteste te voir aller mal. » Que pouvait-il demander de plus ? Elle venait bel et bien de lui dire qu'elle ne le détestait pas, qu'il lui avait manqué, qu'elle n'avait personne dans sa vie, qu'elle allait être auprès de lui, qu'elle allait l'aider, quoiqu'il arrive. Non, franchement, il était heureux, jamais il n'aurait pensé que ça se serait passé comme ça. Surement à cause des derniers souvenirs principalement composés de disputes, de cris, de pleurs, de rage, de haine, de passion, d'amour, d'hostilité, d'agressivité. Là, ils étaient calmes, ils étaient doux, et ça faisait beaucoup de bien au jeune homme. « Je veux vraiment qu'on est une autre chance, je ne veux surtout pas te voir de nouveau disparaître, je ne pourrais pas le supporter une seconde fois, je veux de nouveau pouvoir me promener avec toi en dégustant un café, profiter de la plage en t'embêtant à te jeter du sable comme une gamine ou encore t'embêter avec ma passion pour les oiseaux. » Il lui serra un peu plus la main, lui aussi avait envie de tout ça. Des projets qui étaient très envoutants à son goût.« Je vais te faire une promesse Najy. Je ne partirai pas une seconde fois. » Dit-il, très sérieusement, lorsqu'il donnait sa parole, c'était clair qu'il n'allait pas filer en douce ou la contourner, c'était un homme de parole, il avait des défauts, mais là-dessus, on ne pouvait rien dire. « J'ai très envie de t'embrasser, là, maintenant. » Lui murmura-t-il alors que son visage se rapprocha de celui de Najyla inconsciemment. Sa main libre, vint s'emparer d'une de ses mèches rebelles, qu'il lui remit derrière l'oreille, sans perdre son sourire.
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Najyla-Félix Basini
| Sujet: Re: Oui je fais un scandale Mer 30 Mai - 13:11 | |
| OUI JE FAIS UN SCANDALE with Anteo-Orio PaschiAimer, un simple petit mot, mais qui peut avoir tellement de sens dans la vie d'une personne, prenons la mienne par exemple, j'avais réussi à comprendre ce que aimer voulait dire, c'est quand on perd une personne, qu'elle meurt, qu'elle disparaît de votre vie que vous comprenez encore plus à quel point vous l'avez aimé et combien vous l'aimez encore, l'amour réserve de nombreuses surprises. A ce moment même je savais ce que je voulais, qu'il soit à moi, cela faisait égoïste de dire cela, mais je ne voulais pas à nouveau le perdre, il comptait beaucoup trop à mes yeux. « Je vais te faire une promesse Najy. Je ne partirai pas une seconde fois. » Je ne pouvais m'empêcher de sourire, en attendant cela, cela me redonner presque cette petite lumière dans les yeux qui montre à quel point je suis heureuse. Je savais qu'il allait tenir sa promesse, puis il paraissait tellement sincère, que je n'avais aucun doute. « Je l'espère ! » Je crois qu'il était l'un des hommes en qui j'ai le plus confiance, bien entendu il y a aussi mon frère. « J'ai très envie de t'embrasser, là, maintenant. » Je me mordais inconsciemment la lèvre inférieur, avant de faire un petit sourire, si je le repoussais en lui disant de ne pas le faire je m'en voudrais et il faudrait être assez dingue, comme pouvoir le repousser ? Lui, l'homme de ma vie, alors que je rêvais depuis tellement de temps de pouvoir l'embrasser à nouveau. Son visage était proche du mien, il repoussa l'une de mes mèches qui s'était mis en travers de mon visage. « Et je t'en donne le droit ! » Dis-je avec un petit rire. « A vrai dire dire je t'ordonne de la faire ! » J'avais tellement envie de me jeter sur lui depuis que je l'ai revu, il y a quelques minutes quand je m'étais retournée, que je l'avais vu, alors j'attendais avec impatience qu'il m'embrasse.
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Anteo-Orio Paschi
| Sujet: Re: Oui je fais un scandale Mer 30 Mai - 14:10 | |
| Najyla & Anteo
« Et je t'en donne le droit ! ... A vrai dire dire je t'ordonne de la faire ! » Lui annonça-t-elle, un léger sourire sur les lèvres. Il ne fallait pas lui demander deux fois en réalité, il le souhaitait depuis qu'il l'avait vu dans le hall, toute hystérique, en train de jeter des cartes partout, de lancer des éclairs sur celle de l'accueil ou encore de marcher en sa direction d'un pas plus que déterminé. Lorsqu'il avait posé les yeux sur elle, tout doute s'était évaporé. « Si c'est un ordre alors ...» Susurra-t-il tout en faisant glisser sa main dans le le cou de la jeune brune et en approchant son visage. La regardant dans les yeux, il lui fit passer tout un tas d'émotions qu'il gardait en lui depuis des lustres, avant de poser ses lèvres sur les siennes. Délicatement, doucement, docilement, tendrement, il se contenta de les frôler. Immédiatement, il retrouva le contact qu'il aimait tant, il retrouva ce goût si sucré qui à chaque fois le faisait chavirer. Il prolongea un peu plus le baiser, le rendant plus passionnel, plus sensuel, avant de se détacher, lui laissant une seconde avant de reposer ses lèvres pour l'embrasser une nouvelle fois, et se retirer, juste histoire de vérifier que ce n'était pas un rêve idyllique. Non, c'était bel et bien réel pour son plus grand bonheur. Il lui caressa tendrement la joue, toujours en la fixant. « Alors on recommence, on repart, vraiment ? » Ne put-il s'empêcher de dire tellement il était subjugué de tant de joie, de bonnes nouvelles. Il la vit sourire devant ses mots. « Ton sourire m'avait manqué, tu m'avais vraiment manqué. Et maintenant, je suis tout à toi. » Lui avoua-t-il, pour lui faire comprendre qu'elle pouvait tout demander, tout lui demander. Elle avait peut-être encore quelques questions non ? Lui, il en avait en tous les cas. « Mais dis-moi ... Tu bosses où maintenant ? »
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Najyla-Félix Basini
| Sujet: Re: Oui je fais un scandale Mer 30 Mai - 14:36 | |
| OUI JE FAIS UN SCANDALE with Anteo-Orio Paschi « Si c'est un ordre alors ...» Il n'avait plus le choix, il était obligé de m'embrasser, je n'attendais plus que ça, je sentais sa main des glisser dans mon cou, si à cet instant on aurait du vérifier à combien battait mon cœur, il devait certainement dépasser la limite, je le sentais battre tellement vite, puis il déposa enfin ses lèvres sur les miennes, mes yeux fermés, j'appréciais ce moment, pour moi plus rien n'avait d'importance à ce moment, c'était lui et moi ! Je n'avais aucune envie d'arrêter ce baiser, s'il était possible qu'il continue éternellement, cela ne m'aurait absolument pas déranger, j'étais tellement bien, le baiser se rompit un instant, j'avais l'impression d'être ailleurs, de rêver, j'avais espéré que ce moment se passe, que j'avais l'impression que c'était l'un de mes précieux rêves. Mais j'étais heureuse de voir que c'était un rêve éveillé. Déposant ses lèvres de nouveau sur les miennes, je laissais mes mains se glisser derrière sa nuque, appréciant une fois de plus ce baiser. « Alors on recommence, on repart, vraiment ? » Je souriais. « Oui on recommence vraiment ! » Bien que j'imaginais déjà la réaction de certaines personnes, qui me diront sans doute que je fais un mauvais choix, mais je savais que c'était le bon choix, je laisserais les gens dire ce qu'ils pensent, mais je pourrais enfin leur montrer que c'est avec Anteo que je suis heureuse et avec aucun autre homme. « Ton sourire m'avait manqué, tu m'avais vraiment manqué. Et maintenant, je suis tout à toi. » J'appréciais ce qu'il venait me dire, j'étais heureuse de lui avoir manqué, lui aussi m'avait énormément manqué. « Vraiment tout à moi ? Parce que cela veut dire que tu vas de nouveau subir mon hyperactivité et donc devoir me suivre partout où je te demanderais de me suivre. » Bien que l'on ne m'a jamais diagnostiqué une hyperactivité, je me considérais avoir cette maladie, oui car l'hyperactivité est une maladie, je ne m'arrête jamais de bouger, cela fait presque peur à voir, je reste jamais assise plus d'un heure sans rien faire, je me souviens encore toutes les fois où mes professeurs m'engueulaient de ne jamais rester en place très longtemps, de toujours parler, d'avoir souvent la tête ailleurs, de courir partout. « Mais dis-moi ... Tu bosses où maintenant ? » Quand il était parti, je n'étais encore qu'une simple petite vendeuse dans une animalerie, où les journées me paraissaient tellement longue que je m'amusais presque à compter le nombre de fois qu'un poisson rouge faisait le tour de son bocal. « Sans travail et je vis dans le parc. » Dis-je en rigolant. « Non plus sérieusement, j'ai réussi à être embauché à Zoobika, comme fauconnier, je peux enfin monter des spectacles avec les aigles et les faucons, d'ailleurs j'ai même donné ton prénom à un bébé aigle. Et j'ai repris mon ancien appartement et je me suis même fait un cadeau... j'ai adopté un perroquet ! » Ma passion pour les oiseaux en tout genre était tellement forte, que je n'avais pas pu résister, depuis mon enfance, j'avais toujours voulu un oiseau, beaucoup avait pensé à un simple petit oiseau, mais moi j'avais visé plus haut, un perroquet.
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Anteo-Orio Paschi
| Sujet: Re: Oui je fais un scandale Mer 30 Mai - 18:54 | |
| Najyla & Anteo
« Oui on recommence vraiment ! » Il n'avait pas une confirmation, mais il prenait, parce que ça faisait beaucoup de bien, il ne pouvait pas le nier, c'était certain ! « Vraiment tout à moi ? Parce que cela veut dire que tu vas de nouveau subir mon hyperactivité et donc devoir me suivre partout où je te demanderais de me suivre. » Il lui sourit, un sourire très tendre, car oui, il allait la suivre partout, n'importe où, vraiment. « Hum ... Te suivre partout, c'est une proposition très alléchante vois-tu. » C'est vrai que Najyla bougeait énormément, d'ailleurs, leur rencontre le confirmait ! Ils s'étaient rencontrés alors qu'elle courait, lui rentrant dedans, autant dire que c'était un choc, avec des papiers un peu partout dans la rue, ce n'était pas commun mais maintenant, il était bel et bien content de l'avoir percuté ! Oui, parce que ça faillit recommencer alors qu'elle était à vélo, une vraie petite pile électrique qu'il fallait suivre. « Sans travail et je vis dans le parc. ... Non plus sérieusement, j'ai réussi à être embauché à Zoobika, comme fauconnier, je peux enfin monter des spectacles avec les aigles et les faucons, d'ailleurs j'ai même donné ton prénom à un bébé aigle. Et j'ai repris mon ancien appartement et je me suis même fait un cadeau... j'ai adopté un perroquet ! » Il éclata de rire. Elle avait toujours sa passion pour les bêtes à plume, celles qui s'envolent et nous font rêver de pouvoir tout traverser et tout observer. « Tu aurais été très sexy en petite sauvageonne des bois. » Répondit-il alors, face à sa première réponse de celle qu'il aimait. « Je pense qu'il faudra que je passe voir ce bébé aigle, je ne peux pas rater ça ! Ca me fait vraiment plaisir. » Oui, ça le touchait que malgré tout, elle ne l'ait pas effacé comme on efface la craie sur un tableau. Il était resté dans un coin, bien content. « Et il va falloir que je passe voir ton perroquet, il m'apprendra peut-être même des choses sur toi qui sait ! »
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Najyla-Félix Basini
| Sujet: Re: Oui je fais un scandale Mer 30 Mai - 19:26 | |
| OUI JE FAIS UN SCANDALE with Anteo-Orio PaschiJe bougeais beaucoup, voir trop, l'avantage c'est que je ne reste pas calée dans un canapé, devant la télévision avec un paquet de chips et des bouteilles de soda, la dernière fois que je m'étais accordée ça, c'était quand Anteo était parti, alors si j'étais sortie dans la rue pour pleurer, cela n'aurait pas été une bonne solution, de plus à ce moment-là je n'avais eu envie de rien, ni de travailler, ni même me faire des bons repas comme j'ai l'habitude de me faire, je n'ouvrais ma porte à personne, je ne répondais à aucun des appels que je recevais, j'étais enfermée chez moi et je ne bougeais plus, mais heureusement j'avais réussi à me ressaisir. « Hum ... Te suivre partout, c'est une proposition très alléchante vois-tu. » Je souriais. « D'ailleurs en venant ici j'ai chamboulé tous mes plans de ma journée que j'avais prévu, à cette heure-là j'étais censée être en pleins match de tennis pour me défouler et après j'étais censée ranger mon appartement, malgré que ça je le prévois déjà depuis deux semaines. » On voit souvent des femmes qui aiment faire les poussières, laver les carreaux, même l'écran de télévision, d'ordinateur, mais moi... je détestais ça, sur mon ordinateur on peut voir des traces de doigts, une pile de magazines qui s'entassent sur la table du salon, enfin un petit bordel bien sympathique. Il m'avait demandé où je travaillais, je lui avais donc répondu, mais juste avant je lui avais fait une petite blague. « Tu aurais été très sexy en petite sauvageonne des bois. » Je rigolais, m'imaginant en train de vivre dans la rue, l'image était assez horrible, cela me faisais presque peur. « Mais surtout très puante, ma seule baignoire aurait été la mer et mes seuls repas auraient été les déchets sur la plage. » Au zoo, je m'occupais des nombreux aigles et faucons, ainsi que des autres races d'oiseaux, mais surtout les faucons et les aigles et il y avait eu une naissance, des jolis bébés aigles, j'avais craqué pour l'un d'entre-eux, voilà pourquoi je l'avait appelé Anteo. « Je pense qu'il faudra que je passe voir ce bébé aigle, je ne peux pas rater ça ! Ca me fait vraiment plaisir. » Je souriais, parfois ma passion pour les oiseaux pouvaient être très pesante, voir horrible, surtout quand j'en parle à des personnes qui ne supportent pas les oiseaux et généralement ses personnes je finis même par les détester. « Je suis certaine que ce bébé aigle va t'adorer, en plus chez moi j'ai des photos de lui partout... c'est pas de ma faute si je suis tombée amoureuse d'un bébé aigle. » Dis-je en rigolant, je lui avais aussi dit que j'avais adopté un perroquet. « Et il va falloir que je passe voir ton perroquet, il m'apprendra peut-être même des choses sur toi qui sait ! » Je souriais, me levant du fauteuil, je déposais un baiser sur la joue de Anteo et je lui répondais. « Si tu parles à mon perroquet tu vas être jaloux et tu vas vouloir le frapper, je lui ai appris à dire qu'il m'aimait, du coup il aime souvent dire : Najyla je t'aime ! » D'ailleurs il faut dire que j'appréciais quand il me le disait, c'était même assez marrant à entendre. Je posais ma main sur son torse, malgré qu'il avait son t-shirt, je pouvais encore sentir ses muscles je le regardais alors avant de lui demander. « Vu que tu as encore tes beaux muscles, est-ce qu'un jogging sur la plage te tente ? Enfin à moins que tu as encore des choses à faire ici, parce que juste après le jogging je t'aurais offert un merveilleux hot-dog ! » Je lui faisais un sourire, tentant de le convaincre, pour ce qui était de me changer, j'avais toujours mon sac de sport à l'arrière de ma voiture. « A moins que tu préfères que je te massacre au tennis ! » Dis-je en rigolant, le tennis j'étais douée, ayant pris des cours quand j'étais plus jeune, faisant même des championnats, mais j'avais tout arrêté, mais je n'avais jamais cessé de pratiquer ce sport.
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Anteo-Orio Paschi
| Sujet: Re: Oui je fais un scandale Ven 1 Juin - 15:32 | |
| Najyla & Anteo
Les yeux pétillants, Anteo ne pouvait s'empêcher de perdre Najyla du regard, de peur qu'elle disparaisse comme il avait disparu. En tous les cas, il été fier de s'être fait soigné, vraiment. « D'ailleurs en venant ici j'ai chamboulé tous mes plans de ma journée que j'avais prévu, à cette heure-là j'étais censée être en pleins match de tennis pour me défouler et après j'étais censée ranger mon appartement, malgré que ça je le prévois déjà depuis deux semaines. » Il lui sourit, doucement, toujours aussi bordélique apparemment ! « Et j'étais censé remplir de la paperasse moi ... Mais je préfère largement ça. » Ajouta-t-il en l'embrassant une nouvelle fois, juste une simple envie. C'était un contact qui lui avait drôlement manqué, trop manqué, que parfois, l'idée de tout arrêter et revenir à Pescara lui avait traversé l'esprit. C'était lorsqu'on perdait de vu certaines personnes qu'on se rendait compte combien on y tenait. Ca avait été le cas pour Anteo. « Mais surtout très puante, ma seule baignoire aurait été la mer et mes seuls repas auraient été les déchets sur la plage. » Certes, mais elle aurait quand même été sexy aux yeux d'Anteo, et puis au moins, il serait devenu son héros protecteur qui l'aurait aidé, que voulez-vous, lui aussi a le droit de se faire quelques petits films dans sa tête non ? « Je suis certaine que ce bébé aigle va t'adorer, en plus chez moi j'ai des photos de lui partout... c'est pas de ma faute si je suis tombée amoureuse d'un bébé aigle. » Il n'en doutait pas de toute manière. « Tant que tu ne me remplaces pas par mon double avec des ailes, ça me convient. » La taquina-t-il, il connaissait sa fascination pour les oiseaux, enfin, surtout les rapaces, ce qui ne le rassurait pas des masses, mais c'était déjà mieux que les félins ! « Si tu parles à mon perroquet tu vas être jaloux et tu vas vouloir le frapper, je lui ai appris à dire qu'il m'aimait, du coup il aime souvent dire : Najyla je t'aime ! » Il éclata de rire. Il n'était pas un mec des plus jaloux, il acceptait totalement qu'elle est des potes, comme lui avait des amies, mais disons que dès que ça devenait proche, là, il pouvait se mettre dans tous ses états, ce qui était déjà arrivé ... « Tu sais, je comprends parfaitement qu'il ne puisse pas s'empêcher de te dire qu'il t'aime. Le contraire serait improbable. ». Puis le sujet changea. « Vu que tu as encore tes beaux muscles, est-ce qu'un jogging sur la plage te tente ? Enfin à moins que tu as encore des choses à faire ici, parce que juste après le jogging je t'aurais offert un merveilleux hot-dog ! ... A moins que tu préfères que je te massacre au tennis ! » Il sourit. « Un jogging avec plaisir, j'ai pas envie d'être ridicule tout de suite ! Tu n'as qu'à prendre tes affaires et te changer dans le coin, faut juste que je passe un coup de fil avant, on se rejoint sur la plage par exemple ? » Avoua-t-il en lui faisant un clin d'oeil. Il s'empara ensuite de l'appareil fixe, composa un numéro et attendit que ça décroche. « Oui c'est moi, peux tu annuler mon rendez-vous de quatorze heure s'il te plais ? Je prends mon après-midi ... Oui ... Merci bien, bonne journée. » Pendant la conversation, il vit Najyla disparaitre à travers la porte, lui faisant un signe de main après l'avoir embrasser sur le bord des lèvres. Il se dépêcha ensuite de monter à sa chambre pour se changer et rejoindre sa belle.
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